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- Out 5, 2021
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Benfica-PSG : Lionel Messi est enfin à l’heure de Paris
Le Paris Saint-Germain affronte le club portugais, mercredi, en Ligue des champions. L’Argentin semble avoir digéré son départ de Barcelone et retrouvé une meilleure forme physique.
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Le bonheur au travail est un sujet dans l’air du temps, même au Paris Saint-Germain, au moins autant que les déplacements en avion privé en période de sobriété énergétique. Depuis le début de la saison, Lionel Messi est enfin un employé de 35 ans épanoui et espère encore le prouver avec son prochain déplacement professionnel, à Lisbonne, pour affronter Benfica, lors de la 3e journée de Ligue des champions, ce mercredi 6 octobre.
Or, un Messi bien dans sa tête et ses crampons est un Messi retrouvé, à en croire Christophe Galtier. « La relation qu’il a avec ses partenaires dans les séances d’entraînement laisse penser qu’il est heureux, et, quand il est heureux, il est performant et retrouve les standards qu’il a eus tout au long de sa carrière », a résumé l’entraîneur parisien après la victoire contre Nice (2-1).
Samedi 1er octobre, l’Argentin a même retrouvé le mode d’emploi du coup franc direct imparable, document qu’on pensait oublié à Barcelone. Il s’agissait de son premier avec le PSG, mais le soixantième de sa carrière pour celui dont un ancien coéquipier en Catalogne, le défenseur Nelson Semedo, confia un jour qu’il n’avait pourtant jamais vu Messi s’y exercer à l’entraînement. Le talent sans doute. Reste que la qualité de frappe est souvent considérée comme un bon indicateur de la forme d’un footballeur. Si tel est cas, un constat s’impose : le septuple Ballon d’or va beaucoup mieux que lors d’une première saison décevante et perçue comme celle d’un déclin inexorable et d’un mariage de raison raté entre la star et Paris.
Opportunité de marché
Messi était l’enfant et l’homme d’un seul club, ce Barça rejoint à 13 ans et quitté vingt-et-un ans (et 667 buts) plus tard, plein de larmes et de regrets. Un salaire annuel de 30 millions d’euros ne protège pas de la nostalgie. Le natif de Rosario a vécu ce départ de Barcelone comme un second déracinement. Fin mai, il s’en ouvrait dans un entretien pour la chaîne argentine TyCSPorts. « Si les enfants se sont parfaitement adaptés à leur nouvelle vie, Antonella et moi avons eu plus de mal. Le premier jour des enfants à l’école, on a pleuré. On se disait : “Qu’est-ce qu’on fait là ? Qu’est-ce qui s’est passé ?” Ça a été un changement et une année difficile. Quand tu as été toute ta vie au même endroit, surtout à mon âge, ce n’est pas facile. »
Le Monde
Le Paris Saint-Germain affronte le club portugais, mercredi, en Ligue des champions. L’Argentin semble avoir digéré son départ de Barcelone et retrouvé une meilleure forme physique.
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Or, un Messi bien dans sa tête et ses crampons est un Messi retrouvé, à en croire Christophe Galtier. « La relation qu’il a avec ses partenaires dans les séances d’entraînement laisse penser qu’il est heureux, et, quand il est heureux, il est performant et retrouve les standards qu’il a eus tout au long de sa carrière », a résumé l’entraîneur parisien après la victoire contre Nice (2-1).
Samedi 1er octobre, l’Argentin a même retrouvé le mode d’emploi du coup franc direct imparable, document qu’on pensait oublié à Barcelone. Il s’agissait de son premier avec le PSG, mais le soixantième de sa carrière pour celui dont un ancien coéquipier en Catalogne, le défenseur Nelson Semedo, confia un jour qu’il n’avait pourtant jamais vu Messi s’y exercer à l’entraînement. Le talent sans doute. Reste que la qualité de frappe est souvent considérée comme un bon indicateur de la forme d’un footballeur. Si tel est cas, un constat s’impose : le septuple Ballon d’or va beaucoup mieux que lors d’une première saison décevante et perçue comme celle d’un déclin inexorable et d’un mariage de raison raté entre la star et Paris.
Opportunité de marché
Messi était l’enfant et l’homme d’un seul club, ce Barça rejoint à 13 ans et quitté vingt-et-un ans (et 667 buts) plus tard, plein de larmes et de regrets. Un salaire annuel de 30 millions d’euros ne protège pas de la nostalgie. Le natif de Rosario a vécu ce départ de Barcelone comme un second déracinement. Fin mai, il s’en ouvrait dans un entretien pour la chaîne argentine TyCSPorts. « Si les enfants se sont parfaitement adaptés à leur nouvelle vie, Antonella et moi avons eu plus de mal. Le premier jour des enfants à l’école, on a pleuré. On se disait : “Qu’est-ce qu’on fait là ? Qu’est-ce qui s’est passé ?” Ça a été un changement et une année difficile. Quand tu as été toute ta vie au même endroit, surtout à mon âge, ce n’est pas facile. »
Le Monde
