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Azerbaïdjan-France : la métamorphose offensive de Didier Deschamps validée par la qualification des Bleus pour la Coupe du monde
Réputé pour la stratégie défensive de son équipe de France, qui se déplace à Bakou dimanche, le sélectionneur tricolore a changé de cap en 2025, pour s’adapter au vivier tricolore. Une mue gagnante, qu’il souhaite prolonger jusqu’au Mondial 2026.
On peut changer d’avis après treize ans de règne. Réputé pour la frilosité offensive de son équipe de France masculine de football – autant que pour sa stratégie défensive éprouvée –, Didier Deschamps a opéré un changement de logiciel. Depuis le début des qualifications pour la Coupe du monde 2026, validées jeudi lors de la victoire face à l’Ukraine à Paris (4-0), le sélectionneur tricolore opte pour une philosophie de jeu davantage portée vers l’attaque, et aligne systématiquement quatre éléments offensifs d’entrée.
S’il devrait faire tourner son effectif, dimanche 16 novembre, lors de l’ultime rencontre en Azerbaïdjan – les Bleus ayant validé leur billet pour le Mondial, qui aura lieu du 11 juin au 19 juillet 2026, aux Etats-Unis, au Mexique et au Canada –, le Basque devrait rester fidèle à cette nouvelle voie.
Le tournant a eu lieu le 23 mars. Dos au mur après s’être piteusement inclinés en Croatie, en quart de finale aller de la Ligue des nations (2-0), les vice-champions du monde doivent renverser la table au Stade de France. Didier Deschamps chamboule son onze de départ et ses habitudes, alignant quatre joueurs à vocation offensive – Kylian Mbappé, Ousmane Dembélé, Bradley Barcola et Michael Olise. Pari gagné. Les Bleus désarçonnent l’équipe de Luka Modric et se qualifient (2-0 t.a.b. 5-4). « Cela me faisait prendre des risques par rapport à un objectif de qualification, mais c’était le moment de le faire », observe le Bayonnais après un match plaisant, riche en émotions pour le public.
Le Monde
Réputé pour la stratégie défensive de son équipe de France, qui se déplace à Bakou dimanche, le sélectionneur tricolore a changé de cap en 2025, pour s’adapter au vivier tricolore. Une mue gagnante, qu’il souhaite prolonger jusqu’au Mondial 2026.
On peut changer d’avis après treize ans de règne. Réputé pour la frilosité offensive de son équipe de France masculine de football – autant que pour sa stratégie défensive éprouvée –, Didier Deschamps a opéré un changement de logiciel. Depuis le début des qualifications pour la Coupe du monde 2026, validées jeudi lors de la victoire face à l’Ukraine à Paris (4-0), le sélectionneur tricolore opte pour une philosophie de jeu davantage portée vers l’attaque, et aligne systématiquement quatre éléments offensifs d’entrée.
S’il devrait faire tourner son effectif, dimanche 16 novembre, lors de l’ultime rencontre en Azerbaïdjan – les Bleus ayant validé leur billet pour le Mondial, qui aura lieu du 11 juin au 19 juillet 2026, aux Etats-Unis, au Mexique et au Canada –, le Basque devrait rester fidèle à cette nouvelle voie.
Le tournant a eu lieu le 23 mars. Dos au mur après s’être piteusement inclinés en Croatie, en quart de finale aller de la Ligue des nations (2-0), les vice-champions du monde doivent renverser la table au Stade de France. Didier Deschamps chamboule son onze de départ et ses habitudes, alignant quatre joueurs à vocation offensive – Kylian Mbappé, Ousmane Dembélé, Bradley Barcola et Michael Olise. Pari gagné. Les Bleus désarçonnent l’équipe de Luka Modric et se qualifient (2-0 t.a.b. 5-4). « Cela me faisait prendre des risques par rapport à un objectif de qualification, mais c’était le moment de le faire », observe le Bayonnais après un match plaisant, riche en émotions pour le public.
Le Monde
