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- Out 5, 2021
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A Roland-Garros, c’est le brame : saurez-vous reconnaître les cris des internationaux de tennis ?
QUIZ – Vérifiez si vous suivez le tournoi avec assez d’attention pour reconnaître les hurlements poussés par les joueurs et joueuses sur les courts de la porte d’Auteuil.
Les premiers cris de joueurs sur les courts remontent à 1959, si l’on en croit la presse spécialisée. Elle cite le nom de Robert Howe, un tennisman australien, qui figure, par ailleurs, parmi les précurseurs du revers à deux mains. Il faut cependant attendre les années 1990 pour trouver des « hurleurs » en série. Chez les messieurs, les Américains Jimmy Connors et Andre Agassi s’imposent alors comme les grands spécialistes du « brame » sur terre battue.
Depuis, le phénomène n’a cessé de s’amplifier, de sorte que la vénérable BBC a lancé, en 2015, un grunt-o-meter (de grunt, « grognement » en anglais) afin de mesurer le cri des joueurs et des joueuses. Dans le classement, la Russe Maria Sharapova, aujourd’hui retraitée des courts, atteignait 105 décibels (dB) – autant qu’une moto débridée – et la Biélorusse Aryna Sabalenka, environ 90 dB – à peu près l’équivalent d’une scie circulaire.
Cependant, l’affaire est sérieuse, et c’est la science qui le dit. Une étude du Journal of Strength and Conditioning Research de 2014 a en effet évalué à 4,9 % la puissance supplémentaire atteinte au service lorsqu’un joueur crie tout en frappant la balle, tandis qu’une autre étude évalue à 3,8 % le gain lors des échanges.
Le Monde

QUIZ – Vérifiez si vous suivez le tournoi avec assez d’attention pour reconnaître les hurlements poussés par les joueurs et joueuses sur les courts de la porte d’Auteuil.
Les premiers cris de joueurs sur les courts remontent à 1959, si l’on en croit la presse spécialisée. Elle cite le nom de Robert Howe, un tennisman australien, qui figure, par ailleurs, parmi les précurseurs du revers à deux mains. Il faut cependant attendre les années 1990 pour trouver des « hurleurs » en série. Chez les messieurs, les Américains Jimmy Connors et Andre Agassi s’imposent alors comme les grands spécialistes du « brame » sur terre battue.
Depuis, le phénomène n’a cessé de s’amplifier, de sorte que la vénérable BBC a lancé, en 2015, un grunt-o-meter (de grunt, « grognement » en anglais) afin de mesurer le cri des joueurs et des joueuses. Dans le classement, la Russe Maria Sharapova, aujourd’hui retraitée des courts, atteignait 105 décibels (dB) – autant qu’une moto débridée – et la Biélorusse Aryna Sabalenka, environ 90 dB – à peu près l’équivalent d’une scie circulaire.
Cependant, l’affaire est sérieuse, et c’est la science qui le dit. Une étude du Journal of Strength and Conditioning Research de 2014 a en effet évalué à 4,9 % la puissance supplémentaire atteinte au service lorsqu’un joueur crie tout en frappant la balle, tandis qu’une autre étude évalue à 3,8 % le gain lors des échanges.
Le Monde