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- Out 5, 2021
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Vendée Globe : pour Violette Dorange, à l’approche de l’équateur dans la remontée de l’Atlantique, c’est bateau, boulot, dodo
A 23 ans, la benjamine de la 10ᵉ édition de cette course au large en solitaire, sans escale ni assistance, partie des Sables-d’Olonne le 10 novembre, se rapproche de l’arrivée.
A la latitude de Recife (Brésil) dans l’Atlantique Sud, DeVenir, le monocoque de 18 mètres de Violette Dorange, glisse sous le soleil « presque tout droit » vers les Sables-d’Olonne (Vendée), où il devrait arriver entre le 6 et le 8 février, selon les organisateurs de la 10e édition du Vendée Globe.
« L’équateur, c’est pour dans un ou deux jours, et, après mon enchaînement de galères, j’ai retrouvé le moral », jure la skippeuse de 23 ans au bout du fil, la voix cependant altérée par la fatigue, à la veille d’entrer dans sa douzième semaine de navigation.
Une semaine auparavant, elle contait une première montée au mât pour régler une avarie : une ascension de 29 mètres – soit l’équivalent d’une dizaine d’étages – minutieusement préparée et couronnée de succès, qu’elle espérait bien ne pas revivre de sitôt. Mais, comme philosophe Michel Desjoyeaux, double vainqueur de cette course en solitaire, sans escale ni assistance (2000-2001 et 2007-2008), « un Vendée Globe, c’est une emmerde par jour ». Aussi, trois jours après cette première grimpette, la grand-voile du coursier de Violette Dorange s’est affaissée sur le pont en raison de l’affaiblissement de son système d’attache.
Le Monde
A 23 ans, la benjamine de la 10ᵉ édition de cette course au large en solitaire, sans escale ni assistance, partie des Sables-d’Olonne le 10 novembre, se rapproche de l’arrivée.
A la latitude de Recife (Brésil) dans l’Atlantique Sud, DeVenir, le monocoque de 18 mètres de Violette Dorange, glisse sous le soleil « presque tout droit » vers les Sables-d’Olonne (Vendée), où il devrait arriver entre le 6 et le 8 février, selon les organisateurs de la 10e édition du Vendée Globe.
« L’équateur, c’est pour dans un ou deux jours, et, après mon enchaînement de galères, j’ai retrouvé le moral », jure la skippeuse de 23 ans au bout du fil, la voix cependant altérée par la fatigue, à la veille d’entrer dans sa douzième semaine de navigation.
Une semaine auparavant, elle contait une première montée au mât pour régler une avarie : une ascension de 29 mètres – soit l’équivalent d’une dizaine d’étages – minutieusement préparée et couronnée de succès, qu’elle espérait bien ne pas revivre de sitôt. Mais, comme philosophe Michel Desjoyeaux, double vainqueur de cette course en solitaire, sans escale ni assistance (2000-2001 et 2007-2008), « un Vendée Globe, c’est une emmerde par jour ». Aussi, trois jours après cette première grimpette, la grand-voile du coursier de Violette Dorange s’est affaissée sur le pont en raison de l’affaiblissement de son système d’attache.
Le Monde