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L’entraîneur de ski Joël Chenal, visé par une plainte pour agression sexuelle, interdit d’exercer
A la suite de l’enquête administrative sur des faits présumés remontant à 2015, révélés par deux articles du « Monde », la préfète de Savoie a pris « un arrêté d’urgence » visant à « interdire d’exercer » à l’ancien skieur, a fait savoir le ministère des sports.
L’ancien skieur Joël Chenal, vice-champion olympique de géant en 2006, visé par une plainte pour agression sexuelle, est « interdit d’exercer » comme entraîneur, a déclaré le ministère des sports, jeudi 31 juillet, à l’Agence France-Presse (AFP).
A la suite de l’enquête administrative sur des faits présumés remontant à 2015, révélés par deux articles du Monde, la préfète de Savoie a pris « un arrêté d’urgence » visant à « interdire d’exercer » à Joël Chenal, a fait savoir le ministère.
M. Chenal exerce actuellement dans sa structure d’entraînement, Silver Ski Team, établie dans la station de la Rosière, près de Bourg-Saint-Maurice.
De nouvelles accusations
L’interdiction administrative d’exercer lui retire le bénéfice de sa carte professionnelle d’éducateur sportif, nécessaire pour exercer dans n’importe quel club.
La Fédération française de ski (FFS), pour qui Joël Chenal a travaillé en tant qu’entraîneur de 2013 à 2017, avait annoncé au cours de la semaine dernière sa « suspension provisoire immédiate » à la suite des nouvelles accusations le visant, en particulier la plainte confirmée par le parquet d’Albertville.
Trois semaines après une première enquête du Monde, dans laquelle l’ancien skieur était mis en cause par sept victimes présumées, un deuxième article, paru la semaine dernière, a rapporté que cinq nouvelles jeunes femmes accusaient Joël Chenal de harcèlement sexuel, dont celle qui a porté plainte lundi pour « agression ». Toutes les femmes qui témoignent étaient mineures au moment des faits.
Le Monde
A la suite de l’enquête administrative sur des faits présumés remontant à 2015, révélés par deux articles du « Monde », la préfète de Savoie a pris « un arrêté d’urgence » visant à « interdire d’exercer » à l’ancien skieur, a fait savoir le ministère des sports.
L’ancien skieur Joël Chenal, vice-champion olympique de géant en 2006, visé par une plainte pour agression sexuelle, est « interdit d’exercer » comme entraîneur, a déclaré le ministère des sports, jeudi 31 juillet, à l’Agence France-Presse (AFP).
A la suite de l’enquête administrative sur des faits présumés remontant à 2015, révélés par deux articles du Monde, la préfète de Savoie a pris « un arrêté d’urgence » visant à « interdire d’exercer » à Joël Chenal, a fait savoir le ministère.
M. Chenal exerce actuellement dans sa structure d’entraînement, Silver Ski Team, établie dans la station de la Rosière, près de Bourg-Saint-Maurice.
De nouvelles accusations
L’interdiction administrative d’exercer lui retire le bénéfice de sa carte professionnelle d’éducateur sportif, nécessaire pour exercer dans n’importe quel club.
La Fédération française de ski (FFS), pour qui Joël Chenal a travaillé en tant qu’entraîneur de 2013 à 2017, avait annoncé au cours de la semaine dernière sa « suspension provisoire immédiate » à la suite des nouvelles accusations le visant, en particulier la plainte confirmée par le parquet d’Albertville.
Trois semaines après une première enquête du Monde, dans laquelle l’ancien skieur était mis en cause par sept victimes présumées, un deuxième article, paru la semaine dernière, a rapporté que cinq nouvelles jeunes femmes accusaient Joël Chenal de harcèlement sexuel, dont celle qui a porté plainte lundi pour « agression ». Toutes les femmes qui témoignent étaient mineures au moment des faits.
Le Monde