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- Out 5, 2021
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Euro 2025 féminin : l’équipe de France mise sur la préparation mentale pour ne plus trembler lors des matchs couperets
Face à l’Allemagne, samedi soir à Bâle, les Bleues espèrent tirer profit du travail impulsé depuis plusieurs mois par le sélectionneur Laurent Bonadei et se qualifier pour les demi-finales du tournoi continental de football.
A quand le premier titre ? La question revient inlassablement après chaque désillusion et avant chaque grande échéance. Car le football français attend désespérément que son équipe féminine commence à garnir son armoire à trophées. « Ça trotte toujours dans les têtes, concède auprès du Monde Hervé Renard. Les médias, vous y contribuez… à juste titre. Mais faire abstraction de cette dimension n’est pas facile. » L’entraîneur parle d’expérience, lui qui était à la tête des Bleues lors de la Coupe du monde 2023 et des Jeux de Paris 2024.
Avant de rallier la Suisse pour le championnat d’Europe des nations, les joueuses tricolores n’ont pas échappé à cette rengaine. D’autant que les dernières échéances, mondiale et olympique, se sont soldées par une élimination en quarts de finale. Une mauvaise habitude qui s’est répétée à sept reprises lors des huit derniers grands tournois internationaux depuis 2013 (Euro, Mondial et Jeux olympiques). Opposées à l’Allemagne, samedi 18 juillet à Bâle (coup d’envoi à 21 heures), les Françaises ont l’occasion de valider leur billet pour le dernier carré de la compétition continentale ; un stade qu’elles n’ont atteint qu’une seule fois ces douze dernières années, lors de l’édition 2022 organisée en Angleterre.
Le Monde
Face à l’Allemagne, samedi soir à Bâle, les Bleues espèrent tirer profit du travail impulsé depuis plusieurs mois par le sélectionneur Laurent Bonadei et se qualifier pour les demi-finales du tournoi continental de football.
A quand le premier titre ? La question revient inlassablement après chaque désillusion et avant chaque grande échéance. Car le football français attend désespérément que son équipe féminine commence à garnir son armoire à trophées. « Ça trotte toujours dans les têtes, concède auprès du Monde Hervé Renard. Les médias, vous y contribuez… à juste titre. Mais faire abstraction de cette dimension n’est pas facile. » L’entraîneur parle d’expérience, lui qui était à la tête des Bleues lors de la Coupe du monde 2023 et des Jeux de Paris 2024.
Avant de rallier la Suisse pour le championnat d’Europe des nations, les joueuses tricolores n’ont pas échappé à cette rengaine. D’autant que les dernières échéances, mondiale et olympique, se sont soldées par une élimination en quarts de finale. Une mauvaise habitude qui s’est répétée à sept reprises lors des huit derniers grands tournois internationaux depuis 2013 (Euro, Mondial et Jeux olympiques). Opposées à l’Allemagne, samedi 18 juillet à Bâle (coup d’envoi à 21 heures), les Françaises ont l’occasion de valider leur billet pour le dernier carré de la compétition continentale ; un stade qu’elles n’ont atteint qu’une seule fois ces douze dernières années, lors de l’édition 2022 organisée en Angleterre.
Le Monde